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vendredi 29 avril 2011

A LA UNE EVENEMENTIEL : Vivez les temps forts du mariage Royal !




































ACTU A LA UNE : Ces militaires prêts à reprendre les armes si Compaoré n'honore pas ses engagements



Au Burkina Faso, bien que la tension soit retombée cette semaine, les mutins se disent prêts à reprendre les armes si le président Compaoré ne tient pas ses promesses. Caméra à l'épaule, l'envoyée spéciale de F24 est allée à leur rencontre.

Le président burkinabè Blaise Compaoré, dont le pays a été confronté à des mutineries de soldats, s'est attribué le ministère de la Défense dans le nouveau gouvernement dont la composition a été annoncée jeudi soir, selon des décrets lus à la télévision publique RTB. "Le président du (Burkina) Faso, chef suprême des armées, assume les fonctions de ministre de la Défense et des Anciens combattants", stipule un des décrets.
Ce poste est particulièrement sensible dans le contexte actuel, le régime du président Compaoré, un militaire arrivé au pouvoir par un coup d'Etat en 1987, devant faire face depuis plus d'un mois à des mutineries de soldats qui ont touché jusqu'à sa propre garde personnelle. Ces mutineries ont eu lieu en parallèle à d'autres mouvements de contestation de la plupart des couches de la société burkinabè qui avaient débuté fin février.
Quinze nouveaux ministres entrent dans ce gouvernement composé de 29 ministres (contre 38 auparavant), toutes membres du parti au pouvoir ou de la mouvance présidentielle. C'est l'équipe la plus ressérée de l'histoire du Burkina Faso.
Djibril Bassolé, ancien médiateur conjoint de l'ONU et de l'Union africaine (UA) pour le Darfour (Soudan), est nommé ministre des Affaires étrangères.
L'Economie et les finances reviennent à Lucien Marie-Noël Bembamba, beau-frère de chef de l'Etat, l'Administration territoriale, la décentralisation et la sécurité, à Jérôme Bougouma, un autre proche de Blaise Compaoré.
La nouvelle équipe comprend trois femmes, nommées aux ministères de l'Education nationale, de l'Action sociale et de la Promotion de la femme.
Ce gouvernement a été formé par le nouveau Premier ministre Luc Adolphe Tiao, journaliste de formation et ex-ambassadeur du Burkina à Paris, nommé lundi en remplacement de Tertius Zongo, limogé au lendemain d'une mutinerie au sein de la propre garde présidentielle du chef de l'Etat, le 14 avril. M. Compaoré avait également remplacé les principaux responsables de l'armée, dont le chef d'état-major.
La nouvelle équipe composée de fidèles du chef de l'Etat, alors que de nombreux observateurs s'attendaient à une ouverture à des membres de la société civile ou de l'opposition, va devoir tenter de juguler une vague de contestation sans précédent dans l'histoire du pays.
Depuis fin février, toutes les couches de la population, jeunes, étudiants, magistrats, soldats, commerçants, ont manifesté avec plus ou moins de violence dans tout le pays contre le régime de Compaoré et la cherté de la vie alors que la majorité des 16 millions de Burkinabè vit avec environ 1,5 euro par jour.
Bilan: au moins six morts, des blessés, des pillages, des dégâts matériels considérables.

SANTE : 500 000 bébés africains naissent chaque année avec une maladie du sang

La drépanocytose, maladie génétique du sang, mortelle dans 60 % à 80 % des cas, toucherait chaque année 500 000 bébés en Afrique. Les ministres africains de la Santé étaient réunis mercredi à Brazzaville pour trouver des solutions.
Quelque 500.000 bébés naissent chaque année en Afrique avec la drépanocytose, une grave maladie génétique du sang, a déclaré mercredi à Brazzaville le directeur régional de l'Organisation mondiale de la santé (OMS/Afro), le Dr Luis Gomes Sambo.
"La prévalence du trait drépanocytaire peut atteindre jusqu'à 40% de la population dans certaines communautés. Chaque année, plus de 500.000 bébés naissent avec la drépanocytose dont 60% a 80% meurent avant l'âge de 5 ans", a déclaré le Dr Gomes Sambo, à l'ouverture d'une réunion des ministres africains de la santé consacrée aux maladies non transmissibles.
La conférence regroupe une trentaine de ministres qui doivent préparer une position commune du continent à la réunion mondiale sur ces maladies héréditaires prévue fin avril a Moscou.
La répétition de crises de drépanocytose (maladie héritée par l'enfant quand ses deux parents, "porteurs sains", présentent une mutation d'un gène de l'hémoglobine) peut entraîner de sévères lésions des reins, des poumons, des os, du système nerveux central.
"Dans la plupart des cas les couples ignorent qu'ils sont porteurs du trait drépanocytaire, soit a cause du manque d'information, soit à cause de l'absence des moyens de dépistage", a expliqué le Dr Gomes Sambo, directeur de l'OMS pour l'Afrique.
Les maladies non transmissibles (maladies cardio-vasculaires, diabète, maladies respiratoires chroniques, cancers, drépanocytose, maladies mentales, violences et traumatismes) représentent "un lourd fardeau" pour les pays en développement, notamment en Afrique, a souligné le médecin, en réclamant davantage d'investissements.
Selon l'OMS, 35 millions de personnes souffrent des maladies cardio-vasculaires dans la région et un million en meurent chaque année.
On estime à 10 millions le nombre de personnes atteintes du diabète en 2010 en Afrique. "Ce chiffre pourrait doubler d'ici 2030 et représentera la plus grande augmentation comparée à celle des autres parties du monde", a dit Luis Gomes Sambo.
Les projections de l'OMS montrent que le nombre de cas de cancers pourrait doubler d'ici 2030, passant de 700.000 à 1.600.000 cas par an avec une létalité de plus de 80%.
Le Dr Gomes Sambo a appelé à "investir davantage" pour lutter contre ces pathologies.

jeudi 28 avril 2011

A LA UNE : Plus de 500 personnes ont perdu la vie dans les heurts post-électoraux

Une ONG nigériane affirme, chiffres recueillis sur le terrain à l'appui, que les violences dans le pays après l'élection présidentielle du 16 avril ont fait 516 morts. Les autorités refusent officiellement de fournir un bilan humain. 

Plus de 500 personnes ont été tuées dans les violences qui ont suivi l'élection présidentielle du 16 avril au Nigeria, a affirmé dimanche une ONG de défense des droits civiques de ce pays où les troubles ont poussé de nombreux chrétiens à célébrer Pâques dans la prudence. "Le dernier bilan est de 516" morts d'après les informations reçues par Civil Rights Congress, a déclaré à l'AFP Shehu Sani, responsable de l'organisation située dans l'Etat de Kaduna (nord), une des régions touchées par les émeutes.
Civils Rights Congress, qui se fonde sur des chiffres recueillis sur le terrain par ses équipes, avait précédemment fait état de près de 250 morts. Les autorités nigérianes refusent de fournir un bilan, officiellement pour ne pas aggraver les tensions intercommunautaires.
"Il pourrait y avoir bien plus" de morts que les 516 recensés, "nous sommes toujours en train de rassembler les données", a ajouté M. Sani, indiquant que les morts comptabilisés jusqu'à présent l'avaient été surtout dans le sud du Kaduna.
Les informations ayant permis d'établir le nouveau bilan proviennent essentiellement des localités de Zonkwa, Zangon-Kataf et Kafanchan, à dominante chrétienne. Le travail de terrain des équipes "est un peu difficile. (...) Certains corps sont brûlés et ne sont pas identifiables", a-t-il ajouté.
Les émeutes ont éclaté après la victoire à la présidentielle du chef de l'Etat sortant, Goodluck Jonathan, un chrétien originaire du Sud.
M. Jonathan était face à 19 candidats dont le principal était l'ex-chef de junte militaire, le général Muhammadu Buhari, un musulman originaire du Nord, qui conteste les résultats du scrutin. Il a été battu avec 31% des sufrages, contre 57% à son rival.
Samedi à Lagos, le parti du général Buhari, le Congrès pour le changement progressiste, a une nouvelle fois dénoncé des irrégularités et fraudes à la présidentielle en faveur de M. Jonathan.
Il a réclamé une analyse "biométrique" des bulletins de vote "dans au moins 11 Etats", sur les 36 que compte ce géant pétrolier et pays le plus peuplé d'Afrique avec près de 160 millions d'habitants.
D'après la Croix-Rouge nigériane, les violences ont provoqué de déplacement de quelque 74.000 personnes, dont beaucoup se sont réfugiées dans des casernes de l'armée et commissariats de police dans le Nord.
Depuis jeudi, le calme règne à la faveur du déploiement de l'armée et de l'instauration de couvre-feux. Mais beaucoup de chrétiens ont célébré Pâques dans la prudence.
Certains fidèles ont accepté de se soumettre à des détecteurs de métaux à l'entrée des églises notamment à Jos, capitale de l'Etat du Plateau (centre), où des flambées de violences meurtrières ont plusieurs fois dans le passé opposé des chrétiens et musulmans.
A Kano, capitale de l'Etat éponyme (nord), de nombreux déplacés ont suivi la messe dans des casernes ou locaux de la police, à l'instar d'Eyo Anthony, 41 ans, qui s'est abrité avec sa femme et leurs deux enfants près d'un commissariat. Faute de place à l'intérieur, il a suivi l'office à travers des haut-parleurs, parmi une foule nombreuse, et n'est pas prêt à rentrer chez lui malgré le retour d'un calme relatif.
Les forces de défense et de sécurité ont annoncé être en état d'alerte pour empêcher une nouvelle éruption de violences après les élections des gouverneurs et des assemblées prévues mardi dans 24 Etats.
Ces scrutins, jugés à haut risque, ont été décalés de deux jours -au 28 avril- à Kaduna et Bauchi (nord), à cause des récentes violences.

SPORT : Rafael Nadal prive David Ferrer d'une revanche à Barcelone

L'Espagnol Rafael Nadal, vainqueur en Catalogne de 2005 à 2009, a battu son compatriote David Ferrer (6-2, 6-4), en finale du tournoi de Barcelone. Un air de déjà vu pour les deux joueurs, une semaine après la finale du Masters 1000 de Monte-Carlo. 
L'Espagnol Rafael Nadal (N.1) a remporté dimanche son sixième tournoi ATP de Barcelone en s'imposant pour la troisième fois en finale devant son compatriote David Ferrer (N.4), en deux sets (6-2, 6-4), une semaine après l'avoir battu à Monte-Carlo. 
Nadal, vainqueur en Catalogne de 2005 à 2009, avait dû déclarer forfait l'année dernière, ouvrant la voie à un succès de Fernando Verdasco.
Une semaine après le Masters 1000 de Monte-Carlo, Nadal continue de marquer son territoire sur terre battue, avec un 34e succès consécutif sur la surface.
En 1 h 49 min, le Majorquin a remporté à Barcelone le 45e titre de sa carrière, en 60 finales, et son 501e match depuis ses débuts professionnels.
"Je suis très heureux", a confié Nadal à la télévision publique espagnole juste après avoir passé sa veste de survêtement.
"Je suis désolé pour David (Ferrer) qui fait une saison fantastique", a ajouté le N.1 mondial. "Mais j'ai très bien joué les trois finales" contre lui.
Ferrer, battu par Nadal pour la 13e fois en 17 duels, savait que c'était quasiment mission impossible dimanche.
"Rafa (Nadal) est sans aucun doute le meilleur", avait-il prévenu après sa victoire en demi-finale contre Nicolas Almagro samedi.
Ferrer, dernier joueur à avoir pris un set à Nadal à Barcelone (en finale en 2008), a subi dimanche sa sixième défaite en 31 rencontres cette saison.
Le N.6 mondial a été dépassé dans le premier set (6-2), perdant son service dès le troisième jeu. Mené 4-1, il est revenu à 4-2 mais Nadal était lancé.
Ferrer, vainqueur à Acapulco et Auckland cette année, a réagi dans la seconde manche, beaucoup plus disputée (6-4), mais il n'a pas été assez solide sur son service.
Nadal a eu 16 balles de break au total (contre 8 à Ferrer) et en a converties six. Suffisant pour s'imposer une sixième fois à Barcelone.

ECONOMIE : Barack Obama défend son budget au siège de Facebook



Le chef de l'État américain s'est rendu au siège du réseau social Facebook, à Palo Alto en Californie, pour une session de questions-réponses avec les internautes sur la stratégie du budget 2012 qu'il entend défendre.

Le président des Etats-Unis Barack Obama a défendu mercredi sa stratégie budgétaire au siège de Facebook en Californie, exhortant les jeunes usagers du réseau social à se mobiliser une nouvelle fois à 18 mois de la présidentielle de 2012.
Face à un public essentiellement composé de jeunes dans les locaux de l'entreprise emblématique du "Web 2.0" qui retransmettait en direct cette séance de questions-réponses, M. Obama a une nouvelle fois exposé sa feuille de route pour réduire les déficits et égratigné au passage celle de ses adversaires républicains.
"Le budget républicain qui a été présenté est plutôt radical. (Mais) je ne le qualifierais pas de particulièrement courageux", a affirmé M. Obama lors de cette réunion au côté du PDG de Facebook, Mark Zuckerberg, 26 ans.
Le budget 2012 présenté par le président républicain de la commission du budget à la Chambre des représentants, Paul Ryan, prévoit des coupes sévères dans les grands programmes sociaux pour tenter de résoudre la question des déficits à long terme.
M. Obama s'est fait l'avocat mercredi d'une approche plus "équilibrée" et a réitéré son souhait, face à M. Zuckerberg, d'une réforme fiscale "qui permet aux gens comme moi, et franchement, comme toi, Mark, de payer un peu plus d'impôts".
"Ca ne me dérange pas", a assuré le PDG de 26 ans, à la tête d'une fortune personnelle de 6,9 milliards de dollars selon le dernier classement du magazine Forbes, grâce à son réseau rassemblant quelque 500 millions d'inscrits dans le monde entier.
Face à un déficit budgétaire annuel de 1.600 milliards de dollars et une dette dépassant 14.200 milliards, le président a fixé le 13 avril l'objectif de réduire le déficit de 4.000 milliards de dollars cumulés sur 12 ans, et promis de laisser expirer fin 2012 les cadeaux fiscaux pour les plus riches, hérités de son prédécesseur républicain George W. Bush.
Cette question est de facto devenue un thème de la campagne en vue de la présidentielle de novembre 2012.
M. Obama, dont la campagne victorieuse de 2008 s'était appuyée abondamment sur les réseaux sociaux, a conclu la réunion de mercredi par un appel à la mobilisation des jeunes électeurs.
"Nous avons fait des progrès", a assuré M. Obama en défendant son bilan à la Maison Blanche. "Plutôt que de se décourager, j'espère que tout le monde est partant pour en remettre un coup et travailler encore plus dur" en vue des prochaines échéances, a-t-il dit.
"Quelle que soit votre appartenance politique, il faut vous impliquer, surtout les jeunes ici, votre génération", a-t-il dit, appelant notamment à soutenir une réforme de l'immigration, jusqu'ici bloquée au Congrès.
"Si vous mettez la même énergie (...) dans le processus politique que celle que vous avez mis dans Facebook, je vous garantis qu'il n'y a rien que nous ne pourrons pas résoudre", a-t-il lancé.
Lors de son déplacement sur la côte Ouest, M. Obama doit aussi effectuer aussi un arrêt jeudi à Reno dans le Nevada, pour une troisième réunion publique en autant de jours, également consacrée à l'économie et au budget. Il est attendu jeudi soir à Los Angeles, la mégalopole sud-californienne.
Tout en soignant son message, le président-candidat ne néglige pas le nerf de la guerre. A San Francisco mercredi soir et à Los Angeles jeudi, il doit participer à des réunions avec des donateurs du parti démocrate, alors que sa campagne espère lever jusqu'à un milliard de dollars d'ici à l'élection.
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mercredi 27 avril 2011

A LA UNE : La Libye et la Côte d’Ivoire évoquées dans la bénédiction pascale du pape

Comme chaque année, des dizaines de milliers de personnes étaient rassemblées sur la place Saint-Pierre, à Rome, ce 24 avril 2011, pour entendre le message de Pâques délivré par le Pape. Benoît XVI a prononcé la bénédiction « urbi et orbi » (à la ville et au monde) et a évoqué dans son message plusieurs dossiers d'actualité, en particulier les conflits en Côte d'Ivoire et en Libye.

Depuis le balcon central de la basilique Saint-Pierre Benoît XVI a parlé en premier lieu du Moyen-Orient, souhaitant « la paix » pour les peuples de la région, plus que « les ténèbres de la division, de la haine et des violences ». Aux jeunes du Moyen-Orient et d’Afrique, le pape a tout particulièrement demandé de « construire une société où la pauvreté soit vaincue », ou « tout choix politique soit inspiré du respect de la personne humaine ».
Plus précisément, le pape a évoqué la situation en Libye : une nouvelle fois et en termes clairs il a souhaité que « la diplomatie et le dialogue prennent la place des armes », appelant aussi à ce que les secours humanitaires parviennent sur place. Et puis il a aussi nommé la Côte d’Ivoire, notant l’urgence d’entamer le « chemin de réconciliation et de pardon ». Le pape a souhaité alors la recomposition de « la cohabitation civile » entre les peuples de Côte d’Ivoire.
Appel en faveur des migrants
S’adressant au monde entier mais dans une allusion évidente aux pays européens, le pape a encouragé « l’accueil » des « nombreux exilés et réfugiés qui proviennent de différents pays africains ». Des immigrés, a insisté Benoît XVI, qui méritent « la solidarité de tous ».
Dans ce sens, alors que les côtes italiennes voient affluer de nombreux clandestins, le pape n’a pas hésité à indiquer que le Vatican encourageait et appréciait le travail de ceux qui se dépensent généreusement pour accueillir les immigrés venus d’Afrique.

FAITS DIVERS : Mort Marie France Pisier : Les hommages se multiplient


Marie France Pisier est partie. Les vivants lui rendent hommage...

Marie France Pisier a tiré sa dernière révérence.
Si les pistes de l'enquête se dirigent vers un tragique accident survenu dans sa piscine, les personnalités politiques et proches de l'actrice lui rendent hommage.
Vincent Perrot, qui a interviewé la défunte il y a quelques semaines dans le cadre d'un reportage sur Jean Paul Belmondo a déclaré sur RTL :
"Elle était belle, resplendissante, extrêmement cultivée, très maline, taquine, plein d'humour. On a passé une heure merveilleuse à parler."
Kristin Scott-Thomas, dirigée par l'actrice a déclaré, bouleversée :
"C'était une femme d'une énergie absolument solaire, qui était curieuse de tout, qui ne se reposait jamais sur ses lauriers d'actrice. Elle m'a donné l'inspiration. Je suis très très choquée"
Robert Hossein a témoigné :
"On est jamais débarrassé de son enfance, elle avait ça, elle. Elle avait plein, plein, plein de présence, de talent, de sensibilité, et une extraordinaire lucidité. Pensant plus aux autres qu’à elle-même."
Yves Boisset , acteur et réalisateur,a déclaré sur Europe 1 :
"Elle n'était pas populiste. Les gens avaient probablement un peu plus de difficulté à s'identifier à elle. C'était une sorte de femme un peu bourgeoise, un peu bas bleu. Elle avait toujours su garder un peu de mystère et de distance."
Du coté des politiques, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Marie France Pisier en ces termes :
"En nous quittant brutalement, Marie-France Pisier nous rejoue L'amour en fuite et, pas plus qu'Antoine Doinel, les Français ne s'en consoleront.  Marie-France Pisier, c'était cela : la suprême élégance qui naît de la plus parfaite simplicité."
Le ministre de la Culture, Frédéric Mitterrand, a ajouté :
"C'était aussi une intellectuelle engagée dans les combats de son époque. Cet engagement ne cessa jamais, dans ses idées comme auprès des hommes remarquables qui furent ses compagnons".
Bertrand Delanoë a eu ces mots :
"Avec elle disparaît une figure éminente, et profondément attachante, du cinéma français. Marie-France Pisier restera d'abord, dans l'esprit de tous, la Colette des films de François Truffaut, et elle gardera toujours, dans notre mémoire collective, l'insolence, le charme et la légèreté de cette jeune fille des années 60."
Le parti socialiste s'est juste fendu d'un communiqué déplorant la perte d'une figure importante :
"La France perd là l'une de ses actrices les plus emblématiques et le Parti socialiste se joint à ses proches et à toute la famille du cinéma français pour partager leur peine."

mardi 26 avril 2011

A LA UNE : Laurent GBAGBO, le 2e chef d'Etat africain le plus aimé sur internet

Le boom d'Internet n'a pas épargné l'Afrique. Face au succès des réseaux sociaux comme Facebook et Twitter, la course aux «likes» a commencé.
Croire que les pays étiquetés «en voie de développement» ne sont pas au fait d’Internet serait bien mal connaître le continent noir. De Facebook en passant par Twitter, ce sont des millions d'internautes qui s’expriment chaque jour sur le Web. A l’image des autres continents, Facebook s’impose en Afrique comme le réseau social par excellence: 21,25% des internautes africains s’y connectent, ce qui fait pas moins de 17 millions de membres sur le site créé par Mark Zuckerberg en 2004. Et cet engouement dépasse la sphère populaire, puisque de nombreux chefs d’Etat africains y ont ouvert un compte, une page officielle, ou encore des groupes de soutien. Autant d’outils qui permettent de créer une interface supplémentaire avec la société civile, les champions de Facebook et Twitter. Pour définir l’enjeu réel que représente le phénomène des réseaux sociaux au sein de la classe politique africaine, nous avons réalisé le classement des cinq présidents* les plus actifs sur la Toile, notamment sur Facebook et Twitter, au 29 mars 2011. - Ce classement est évalué en fonction du nombre de likes (j'aime, en version française) affichés sur les pages Facebook officielles des présidents. Pour les profanes, il faut savoir que chaque «Facebookien» peut cliquer sur cette icône , présente un peu partout sur le site, afin de manifester son intérêt pour une page, un statut, une photo, etc. Au-delà de la simple popularité d’un dirigeant, ces clics reflètent également des enjeux tels que l’accès à Internet, la pénétration des réseaux sociaux, la politisation de la Toile ou encore la censure. - Twitter est également un réseau social révélateur. Ce site de microblogging relaie des mini-messages (140 caractères maximum) largement suivis sur le Web —on a pu voir son influence récemment lors des révolutions tunisienne et égyptienne. 5. Alassane Dramane Ouattara (Côte d'Ivoire): 12.169 likes Le rival du président Laurent Gbagbo n’oublie pas de soigner sa présence virtuelle. Avec Gbagbo, ils se livrent une cyberguerre sur Facebook et Twitter afin d’élargir leur sphère d’influence. Ouattara, dit «Ado», se montre très présent sur Internet, et la rubrique «Ado sur le web» de son site officiel renvoie sur ses pages Facebook, Hi5, MySpace et Twitter, où 1.028 abonnés suivent ses messages. Il a un site officiel personnel et un autre relatif à son parti politique. 4. Paul Kagamé (Rwanda): 15.591 likes Très actif sur les réseaux sociaux, le président rwandais invite lui aussi les internautes à le suivre sur Facebook, Twitter, Flickr, ou encore YouTube. Sur Facebook, il a créé un forum intitulé «Answers of the week» (Réponses de la semaine) où il répond librement aux questions de ses likers. A titre d’exemple, le 16 mars, un dénommé Aboo lui demandait pourquoi le Rwanda n’était pas plus représenté en Afrique de l’Ouest. Paul Kagamé l'a informé que deux nouveaux ambassadeurs venaient d’être nommés au Nigeria et au Sénégal. Son site officiel est régulièrement actualisé et son compte Twitter rassemble 8.388 abonnés. 3. Jacob Zuma (Afrique du Sud): 21.145 likes Président de la «nation arc-en-ciel» depuis 2009, Zuma est en troisième position de ce classement, une place sur le podium qu'il doit sans doute aux 3.761.000 sud-africains adeptes de Facebook. Zuma est également très suivi sur Twitter avec 10.852 abonnés. Son site officiel est mis à jour régulièrement et il possède également un compte sur YouTube et Flickr. 2. Laurent Gbagbo (Côte d’Ivoire): 32.418 likes Le président Laurent Gbagbo s'efforce de rassembler ses adeptes autant sur la Toile que dans la réalité. Il disposerait même d'une équipe de webactivistes chargée de diffuser son idéologie sur Internet. Une manière de se façonner une légitimité que ne lui a pas accordée la communauté internationale. Son site officiel renvoie vers ses comptes Facebook, Twitter, Dailymotion, MySpace et YouTube. Sur Twitter, il est suivi par 1.277 abonnés. Une diversité d’outils qui permet d’élargir son champ d’action sur le Web. Récemment, le profil de Laurent Gbagbo aurait été bloqué sur Facebook pendant quelques jours, et une pétition circulait pour sa réhabilitation. 1. Goodluck Jonathan (Nigeria): 518.519 likes L’importance que «Monsieur Bonne Chance» accorde à sa cyberpopularité n’est sans doute pas étrangère aux échéances électorales à venir. Président par intérim en poste depuis le 6 mai 2010, les prochaines élections législatives et présidentielle se tiendront respectivement les 2 et 9 avril 2011. Le site officiel de sa campagne est actualisé quotidiennement, et son compte Twitter rassemble 8.746 abonnés. C’est d'ailleurs en 140 caractères qu’il a annoncé l’ouverture de son nouveau site le 8 mars 2011. En outre, le Nigeria se situe au 1er rang africain et au 9e rang mondial en terme de nombre d’utilisateurs d’Internet (43,989 millions), parmi lesquels 2.985.680 sont inscrits sur Facebook. Avec l’Afrique du Sud, le Nigeria recense le plus grand nombre d'utilisateurs de Twitter. Un résultat qui n'est pas étranger à la démographie du Nigeria, pays le plus peuplé du continent noir, et 8e au rang mondial, avec 155.215.573 habitants. Voilà donc un président qui a bien su tirer son épingle du jeu Liberté de liker L’époque où les politiques ne prenaient pas en compte la mesure du phénomène des réseaux sociaux semble être révolue. Sans doute les scandales créés par les câbles de WikiLeaks et l’utilisation de Facebook et Twitter par les partis d’opposition comme vecteur de contestation ont-ils incité de nombreux dirigeants à ne pas négliger cette partie du Web. A l’image des blogs, le premier réflexe a été de se méfier de ces lieux d’échanges ouverts. Dans certains pays où la liberté d’expression n’existe que pour la forme dans la Constitution, l’accès à ces sites fait figure d’oasis en plein désert. On comprend alors l’enjeu de limiter l’accès à de tels outils afin de museler les voix dissidentes. Sauf que la censure est un pari risqué, et qu’elle nécessite un accord avec les moteurs de recherche (à l'instar de Google, qui de 2006 à 2010 acceptait de censurer certaines entrées en Chine) ou encore avec les fournisseurs d’accès. Mais limiter l’accès au Web ne passe pas inaperçu, même dans des pays qui recensent de faibles taux de pénétration d’Internet. Le dernier exemple en date est celui du Cameroun. Le vendredi 11 mars, l’accès au réseau Twitter par téléphone mobile a été bloqué par le gouvernement de Paul Biya, arguant d’obscures «raisons de sécurité». A ce jour, le service n'est toujours pas rétabli dans le pays. Au fond, si les chefs d'Etat n’ont pas pris le train des réseaux sociaux en marche, ils le craignent. Laurence Monnoyer-Smith, chercheuse française en Sciences de l’Information et de la Communication, souligne: «Pour eux, il s’agissait d’un dispositif ressortant de l’organisation de la société civile. Ils ne voyaient pas leur intérêt. Le réveil a été brutal parce qu’ils ont pris conscience de l’énorme décalage entre l’idée qu’ils se faisaient de leur action, et la manière dont elle était reçue.» A l’image de Robert Mugabe (Zimbabwe), ou encore d’Abdoulaye Wade (Sénégal), les groupes d’opposition et les pages des «anti-» se comptent par dizaines —et certaines ne mâchent pas leurs mots.
Source: slateafrique.com

SPORT : Liège-Bastogne-Liège : Philippe Gilbert, roi des Ardennes

Le coureur belge Philippe Gilbert a remporté la 97e édition de Liège-Bastogne-Liège, ce dimanche 24 avril 2011. Au terme d’une course pleine de rebondissements, il s' offre le luxe de déjouer le piège des frère Schleck (Frank est 2e et Andy 3e). Après avoir gagné l'Amstel Gold Race et la Flèche Wallonne, Gibert réussit le triplé dans les classiques ardennaises. Il entre dans l’histoire du cyclisme.
Un Wallon en terre wallonne. Au terme d’une course pleine de rebondissements, Philippe Gilbert inscrit pour la première fois son nom au palmarès de Liège-Bastogne-Liège. Il n’y avait rien à faire contre lui et même les frères Schleck s'y sont cassés les dents. " Ils ont collaboré jusqu'au bout, même en sachant que ce serait dur de me battre ", déclarait-il à l'arrivée. Il est le seul à suivre lorsque Frank et Andy Schleck attaquent au pied de la Roche aux Faucons, à 22 km de l’arrivée. Derrière, Alexandre Vinokourov, le vainqueur sortant est à l’arrêt à cause d’ennuis mécaniques. Il ne reviendra plus.
Devant, il reste quelques rescapés de la principale échappée du jour. Entre autres, le Français Blel Kadri (AG2R La Mondiale), qui montre là tous les espoirs que l’on porte en lui. Dans la côte de Saint-Nicolas, Gilbert se paye le luxe de mettre en difficulté Andy Schleck, qui reviendra par la suite. A deux contre un, on pouvait penser qu’il serait attaqué et mis en difficulté dans le final. Il n'en n'est rien, et Gilbert s’impose au sprint face à deux grimpeurs en manque de punch.
Philippe Gilbert entre dans l’Histoire du vélo
Sept ans après l'Italien Davide Rebellin, Le Wallon est le deuxième coureur à réussir le triplé dans les classiques ardennaises (Amstel Gold Race, Flèche Wallonne, Liège-Bastogne-Liège). Si l’on compte sa victoire dans la flèche Brabançonne, il a donc gagné quatre courses d'affilée. Qui dit mieux ? Pour lui : " C'est une journée fantastique, la plus belle de ma carrière sportive ". Il est aussi le premier Liégeois à s'imposer dans la « Doyenne » depuis trente-trois ans (Joseph Bruyère, en 1978).
Infatigable attaquant, il a notamment remporté le Tour de Lombardie en (2009 et 2010) et Paris-Tour en (2008 et 2009). C'est en 2003 qu'il passe professionnel dans l'équipe de la Française des Jeux. Cette année là, il signe sa première victoire chez les professionnels avec une étape sur le Tour de L’Avenir. Il restera dans l’équipe de Marc Madiot jusqu’à fin 2008. En 2009, il s’engage chez Omega Pharma-Lotto et se dit prêt à supporter la pression dans son pays natal.
La Belgique en fête
Pour la Belgique, la saison des classiques de printemps s’achève comme souvent avec des allures de triomphe. Outre les quatre succès de Philippe Gilbert, Tom Boonen a remporté Gand-Wevelgem et Nick Nuyens s'est imposé dans le Tour des Flandres. Johan Van Summeren, lui, a étonné en gagnant Paris-Roubaix. Le vieil adage affirme que "nul n’est prophète en son pays". Philippe Gilbert et ses compatriotes belges sont l'exception qui confirme la règle.

FAITS DIVERS : Mariage William et Kate : La folie démarre !

Le mariage approche à grands pas... Londres est dans tous ses états !

 Londres s'apprête à faire la fête, et comme un entrainement avant les Jeux Olympiques de 2012, la capitale sort son tapis bleu !

 

A une semaine très exactement du mariage de William et Kate, la ville est en ébullition : les bars vérifient leur écrans plasma, astiquent leur devantures et commandent des litres et des litres de bières pour trinquer au bonheur des jeunes mariés... Sur Oxford Street, les drapeaux sont hissés et les aménagements sont presques prêts, les magasins vendent stickers, badges, mugs, gâteaux et même pizzas fièrement parés des deux visages aimés.
Dans un célèbre magasin, on peut même retrouver l'imitation de la bague de fiançailles de Kate Middleton, de ce bleu si reconnaissable, pour moins de deux livres !
Les tee-shirt remerciant les jeunes mariés pour ce jour férié inattendu sont le nouveau must-have...
Les rues sont bondées de monde, touristes et Anglais attendent avec impatience le fatidique : "I Will", de celle qui deviendra officiellement... La proie des médias !
S'il continue à faire aussi beau à Londres, nul doute qu'avec le soleil comme invité d'honneur, le 29 avril sera un jour de liesse !
Et vous, y serez-vous ?

lundi 25 avril 2011

ACTU A LA UNE : Libye: les combats continuent à Misrata malgré l'annonce d'une pause par le régime

En Libye, l'Otan a effectué la nuit dernière samedi 23 avril 2011 d'intenses bombardements. Des frappes contre plusieurs villes, notamment Syrte, la ville natale de Kadhafi mais aussi Tripoli, la capitale. Les combats continuent à faire rage à Misrata. Pourtant, les forces kadhafistes avaient annoncé samedi la suspension de leurs opérations dans cette ville de l'ouest assiégée depuis près de deux mois. Tripoli a vécu une nuit très chaude au rythme des tirs incessants, intensifs de DCA qui ont commencé dans la soirée vers 22 heures, heure locale, et qui ne se sont réduits qu’au lever du jour. Des dizaines de canons anti-aériens sont disposés un peu partout en ville, souvent cachés sous des bâches. Ils tentaient d’abattre les avions de chasse de l’Otan que l’on entendait sillonner le ciel de la capitale. Plusieurs très fortes détonations ont retenti et il est encore difficile de dire exactement quelles sont les cibles qui ont été touchées dans la nuit. Par ailleurs, tout au long de cette nuit, des tirs d’armes légères, des rafales de mitraillettes, de Kalachnikovs ont également été entendus. Mais il est encore difficile d’expliquer pour l’instant leur origine. En tout cas, les promesses d’intensification des frappes de la coalition semblent avoir été entendues. C’était la deuxième soirée consécutive de bombardements sur le centre de Tripoli. beaucoup se demandent si ce soir encore, des bombes de l’Otan vont tomber sur la capitale libyenne. Mais les combats continuent à faire rage à Misrata Pourtant les forces kadhafistes avaient annoncé hier la suspension de leurs opérations dans cette ville de l’ouest que l’on sait assiégée depuis presque deux mois. C’est sans doute le signe qu’il est peut-être sûrement même trop tôt pour parler de négociations à Misrata. Avant-hier, le vice-ministre des Affaires étrangères libyen parlait pourtant de remplacer l’armée par les tribus qui pourraient commencer un dialogue avec les rebelles. Aujourd’hui, Khaled Kaïm assurait que les chefs tribaux tentent en ce moment de trouver une solution pour un cessez-le-feu d’environ 48 heures. Quel crédit accorder à ces déclarations ? Difficile à dire. Le conditionnel reste de mise. La part de désinformation est grande dans les deux camps. A Tripoli, des sources militaires nous disent que l’idée serait de jouer sur d’anciennes divisions tribales en envoyant ces tribus du sud combattre les insurgés s’ils refusaient de déposer les armes. En tout cas, à Misrata aujourd’hui, l’armée ne s’est pas retirée et les combats n’ont pas cessé.

SPORT : Ligue 1: le PSG bute au pied du podium

Le PSG, qui avait l'occasion de monter sur le podium du Championnat de France, a dû se contenter d'un match nul 2-2 samedi à Brest et reste quatrième à l'issue des premiers matches de la 32e journée, qui se terminera mercredi avec les rencontres Marseille-Nice et Lyon-Montpellier. En s'imposant la semaine dernière face à Lyon (1-0), les Parisiens s'étaient pleinement relancés dans la course à la Ligue des Champions. Lyon ne jouant que mercredi, Paris pouvait même s'installer dès samedi sur la troisième marche en cas de victoire au stade Francis Le Blé. Les joueurs d'Antoine Kombouaré n'y sont pas parvenus mais ils se consoleront peut-être avec une égalisation tardive qui leur évite une vraie désillusion. Tout avait pourtant débuté idéalement avec un joli but de Bodmer, qui confirme son excellente forme actuelle. Mais tout basculait avec la blessure de Grégory Coupet, remplacé par Edel qui, sur une de ses toutes premières interventions, provoquait un penalty. Le gardien arméno-camerounais, qui vit décidément une saison compliquée, repoussait la frappe de Grougi mais Touré avait suivi et égalisait. En fin de première période, c'est le même Grougi qui donnait l'avantage à Brest, avant l'égalisation parisienne en fin de match sur un but contre son camp de Kantari. Avec 53 points, les Parisiens restent devancés à la différence de buts par Lyon, qui accueille mercredi une équipe de Montpellier peut-être touchée par sa défaite samedi en finale de la Coupe de la Ligue contre l'OM (1-0). Tout en haut du classement, c'est bien sûr le statu quo, en attendant les deux matches de mercredi et celui de Lille, qui se déplace en soirée à Lorient. Derrière, c'est Bordeaux qui a réalisé la bonne affaire en battant Saint-Etienne 2-0 grâce à Plasil et Diabaté. Les Girondins bondissent de quatre places et délogent les Verts de la 6e place, qui sera certainement qualificative pour l'Europa League. Rien ne va plus en revanche à Rennes (5e), battu à Monaco (1-0) et qui reste sur une épouvantable série de deux nuls et quatre défaites. Le but de Welcome fait beaucoup de bien au club de la Principauté, qui remonte à la 15e place, deux points devant le premier relégable, Caen. Les Normands, comme de très nombreux clubs luttant pour éviter la relégation, ont fait match nul, contre Toulouse (1-1), qui enchaîne un cinquième match sans victoire mais remonte à la 13e place. Valenciennes a également gagné une place (12e) après son match nul (1-1) contre Sochaux (8e), lui aussi concerné par la course à la 6e place. Face à Arles-Avignon, déjà officiellement relégué depuis la semaine dernière, Nancy (17e) devait absolument prendre trois points. C'est raté, les Lorrains ne sont jamais parvenus à faire plier les Provençaux, pourtant réduits à 10 dès la 10e minute. Auxerre-Lens s'est également fini sur un match nul (1-1), qui n'arrange personne et surtout pas les Nordistes, toujours 19e, à 8 points de Nancy.

SANTE : Mal de dos, ce qui marche vraiment !

C’est bien connu, mieux vaut prévenir que guérir ! Voici donc quelques conseils pour protéger votre dos de l’usure…
Le renfort musculaire Beaucoup de maux de dos seraient évités grâce à la pratique régulière d’un sport assurant la musculation des abdominaux et du dos. «La marche à pied est recommandée à ceux qui ont mal en bas du dos. La natation, notamment le dos crawlé, convient à tous, et plus particulièrement en cas de cervicalgies. En gymnastique quotidienne, les traditionnels pédalages et ciseaux sont parfaits si l’on pense à bien lever les jambes pour ne pas accentuer la cambrure lombaire», détaille Jean-Yves Maigne. Une literie adaptée… Pour choisir un matelas qui protège le dos, il faut tenir compte du poids du dormeur. «Une personne mince pourra prendre un matelas assez souple. Mais, plus le poids du dormeur est important, plus le matelas devra être ferme, voir dur au delà de 100 kg, afin d’assurer un bon maintien de la colonne vertébrale», conseille Jean-Yves Maigne. Le choix de l’oreiller dépend cette fois de la position favorite du dormeur. Si la position de côté est privilégiée, l’oreiller devra être plutôt épais, pour que le cou reste à l’horizontal. Sur le dos, mieux vaut un oreiller mince. Enfin, dormir sur le ventre n’est pas conseillé, puisque cela impose au cou une torsion prolongée. Talons hauts ou pas ? Les talons hauts (plus de 5 cm) augmentent la cambrure lombaire et celle de la nuque. Mieux vaut donc éviter de les porter de façon régulière et prolongée et limiter les talons hauts à des occasions exceptionnelles ! En revanche, des talons de 3 à 5 cm sont bien tolérés au quotidien. Par contre, si le pied est particulièrement creux, les talons hauts pourront améliorer la statique vertébrale et même réduire les douleurs de dos. Bien porter pour mieux se porter… Pour ramasser un objet lourd au sol, il faut maintenir au maximum le dos droit. «Placez-vous au-dessus de l’objet à saisir, approchez les deux pieds écartés aussi près que possible et fléchissez les genoux, pas le dos. Au moment de soulever, pensez à contracter les muscles du ventre. Enfin, plaquez l’objet soulevé contre le corps et redressez les genoux», décrit Jean-Yves Maigne. Attention, la plupart des lumbagos surviennent le matin. Laissez donc à votre corps le temps de s’échauffer et de se préparer avant de fournir des efforts importants ! Protégez le dos des enfants ! Contrairement à ce que l’on pense, ce ne sont pas tant les lourds cartables qui favorisent les maux de dos des enfants. «Ce qui est plus dangereux, c’est l’absence de pratique sportive à un âge où le corps a besoin de s’exercer et de travailler les muscles et le squelette», affirme Jean-Yves Maigne. L’autre facteur de risque est la télévision ! En effet, «les enfants passent trop de temps à la regarder dans une mauvaise position», estime Jean-Yves Maigne. Encore, une fois la télévision a bon dos ! Lire la suite de l'article sur... www.e-sante.fr/mal-dos-ce-qui-marche-vraiment/3/actualite/1193#paragraphe6